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du 24 octobre au 21 novembre |
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le 23 octobre |
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L’exposition GUERRE ET «PAIX » À BAGDAD réunit deux artistes et une cinéaste d’horizons différents : un peintre américain d’origine amérindienne (Mateo Romero), un peintre italien (Lorenzo Manenti) et une cinéaste américaine (Penny Allen). Tous trois portent un regard critique sur la guerre en général et en particulier sur le conflit iraquien.
Mateo Romero peint Fallujah, des enfants soldats, de jeunes combattants fous de violence ou de peur, des traces de chenilles de char sur le sol… en contrepoint il évoque les rêves de paix de soldats indiens, les danses rituelles des pueblos dont ils sont originaires.
Lorenzo Manenti, indigné par la violence aveugle de tous les conflits armés, fait revivre pour nous les chefs d’œuvre archéologiques iraquiens, perdus ou endommagés lors du saccage du musée de Bagdad.
Penny Allen a mis en images, de façon saisissante, le récit d’un jeune soldat américain engagé dans le conflit iraquien.
Artists' Statement :
The paintings for the show, "War and Peace in Baghdad" are of nuanced nature. They consist of two types of paintings that speak about wholly seperate issues: war and violence in Iraq, and the vibrant/healing qualities of contemporary Native culture. Taken as seperate bodies of work, there are obvious missing pieces in a critique of our world.
Examined in relationship to each other the work hopefully begins to resonate with meaning. Claude Levi Strauss, antrhopologist extraordinaire, spoke of a structural analysis of oppossites to form a third type of meaning in examining of their relationship to each other. From the stark darkness of the urban killing fields in Iraq, to the bright, celebratory Pueblo dancers, I offer this set of oppossites for the viewer to construct meaning from.
Mateo Romero |
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MATEO ROMERO
"Allons enfants de l'Iraq...", Mateo Romero. |
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LORENZO MANENTI
"Principe", technique mixte sur carte, 43 x 52,7 cm, Lorenzo Manenti.
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"l'Irak perdu", une composition de 32 pièces perdues à jamais" |
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